mercredi 1 mars 2017

Interview sur le site "Des encres sur le papier"

Parlez-nous un peu de vous Geoffrey Claustriaux...


D’où vous est venue cette passion pour l’écriture ? 

Je lis depuis que je suis très jeune. Comme beaucoup, j’ai commencé avec des bandes dessinées, puis je suis passé aux romans. J’ai également toujours aimé inventer des histoires. Il me semblait donc naturel de m’essayer à l’écriture


Quels sont les auteurs qui vous ont inspiré(e) ?

Mes quatre grandes sources d’inspiration sont H.P. Lovecraft, Stephen King, Mo Hayder et J.K. Rowling.



Parmi tous vos romans, de quels personnages êtes-vous le plus proche ? Pourquoi ?

Je considère Casca, l’héroïne de mon roman "Chroniques de l’Après-Monde", comme le personnage dont je suis le plus proche car j’ai calqué son comportement sur celui que je supposerais être le mien dans une situation similaire. C’est ce qui en fait, je pense, un personnage si réaliste.



Comment vous sentez-vous à l’approche de la sortie d’un de vos livres ? 

Je suis toujours très angoissé. J’ai peur que les gens n’apprécient pas le livre. En général, cela s’atténue lorsque tombent les premières critiques positives, mais je reste stressé à chaque fois que je vends un livre. J’ai tellement peur de décevoir les lecteurs qui me font confiance…



Comment réagissez-vous face aux critiques négatives ?

Je les prends avec bienveillance et j’en tiens compte pour les romans suivants. Je pense d’ailleurs que l’on peut constater une évolution qualitative de livre en livre. Et pour pallier à ce « problème », je suis en train de réécrire le premier tome de ma saga des" Royaumes Ephémères", qui est objectivement et logiquement le moins bon de mes livres puisque c’est le premier que j’ai publié.
Avec quel(s) auteur(s) aimeriez-vous travailler ? 
Il y a tellement d’auteurs avec qui j’aimerais travailler. Je collabore déjà avec Emilie Ansciaux et Arnaud Stouffs pour certains projets, mais j’aimerais beaucoup travailler avec ma cousine canadienne Corinne De Vailly, une auteure très connue chez elle.


Cela a-t-il été compliqué de faire publier votre premier manuscrit et comment  cela s’est-il passé ? 

Ce n’était pas évident, en effet. Mais avec le recul, c’était justifié. A mon sens, le texte n’était pas assez bon pour intéresser une grosse maison d’édition. Par contre, mon manuscrit a dû circuler car c’est la maison d’édition Mon Petit Editeur, dont je n’avais jamais entendu parler, qui m’a contacté pour le publier. Par la suite, j’ai eu la chance de placer deux autres de mes textes dans des maisons d’édition plus importantes, Terre de Brume et les Editions Dricot.


Avant de publier un livre, le faites-vous lire à des personnes de votre entourage ?

Bien sûr ! Ma mère et plusieurs ami(e)s. Je modifie ensuite le texte en fonction de leurs remarque.



Quels sont vos projets ? 

J’ai déjà parlé de la réécriture du Tome 1 des "Royaumes Ephémères", mais j’ai aussi un projet de BD en collaboration avec une dessinatrice très talentueuse, la réécriture du Tome 1 d’une nouvelle saga dont je ne suis pas totalement satisfait, j’aimerais écrire une suite à mon roman policier "Pentecôte", j’ai également l’adaptation sur grand écran d’une autre de mes nouvelles qui devrait voir le jour cette année, ainsi qu’un autre projet de grande ampleur dont je ne peux pas encore parler.



Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore votre univers, que leur diriez-vous afin de les inciter à le découvrir ?

J’aime les histoires qui sortent de l’ordinaire, surprenantes. Je déteste parler du réel sans y mettre une touche de fantastique. Si vous souhaitez tester mon univers, procurez-vous le DVD de l’adaptation en court métrage de ma nouvelle "Chocolat", et lisez ensuite mon roman "Chroniques de l’Après-Monde".

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